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5 conseils pour construire votre personal branding

5 conseils pour construire votre personal branding

Maxime Giannini
5 conseils pour construire votre personal branding Le personal branding ou “marketing de soi” est une manière de se vendre en tant que marque. Au même titre qu’un produit ou une entreprise, vous êtes un individu doué de qualités et vous pouvez utiliser les méthodes du marketing pour vous faire mieux connaître en tant qu’expert de votre domaine. Auparavant préoccupation uniquement réservée aux hommes politiques, artistes ou autres personnalités publiques, le personal branding ou l’art de se vendre et de se construire une réputation en tant que personne est devenue une compétence concernant de plus en plus de monde. Que ce soit en tant qu’indépendant ou entrepreneur pour faire connaître ses services ou son entreprise mais aussi en tant que salarié pour se rendre visible et faire voir ses compétences. Aujourd’hui le personal branding se développe surtout via les médias et les réseaux sociaux. A l’heure du 21e siècle et du “réflexe Google ”, il est devenue une compétence des plus essentielles. Quelques conseils pour commencer... Construire votre personal branding : Apprenez à vous connaître Cela peut paraître anecdotique mais bien se connaître est la base avant d’entreprendre toute action de marketing de soi. Un peu d’introspection est nécessaire car le but n’est pas de correspondre aux standards mais de réfléchir à ce qui vous différencie. Quelles sont vos compétences ? (de part votre formation ou vos expériences) Quelles sont vos qualités ? Quelles sont vos passions ? Qu’est-ce qui vous pousse à vous lever le matin ? Qu’est-ce qui vous motive ? Comment les autres vous décrivent ? Qu’est-ce qui vous rend unique ? Quelle est votre différence ou valeur ajoutée ? Construire votre personal branding : Créez votre marque Une fois que vous avez identifié votre expertise, votre valeur ajoutée et vos motivations intrinsèques, vous êtes prêt à construire votre marque en sélectionnant ce que vous souhaitez mettre en avant. Votre histoire La première étape est de vous construire une histoire à partir des éléments que vous avez extrait de votre introspection. Quelle est votre histoire ? Comment vous pitchez-vous ? Soyez précis et percutant : votre présentation doit durer 1 min maximum et pouvoir être réutilisable dans tous les contextes, par exemple lors d'événements networking lorsque vous devez vous présenter. Votre image Ne négligez pas votre image ! A la fois votre apparence en soignant la façon dont vous êtes habillé et en sélectionnant l’image que vous souhaitez dégager mais aussi en faisant attention à vos supports visuels. : logo, charte graphique, carte de visite… Prenez des photos professionnelles et développez votre présence sur le web en apparaissant dans des vidéos par exemple ou en répondant à des questions de journalistes ou d’auteurs d’articles sur votre sujet. Que voit-on sur vous lorqu’on tape votre nom sur Google ? Construire votre personal branding : Construisez votre écosystème Pour être présent sur le web, il faut se construire un écosystème de plateformes. Le blog peut être la plateforme centrale, renvoyant vers les autres, ou encore votre site web. Ne négligez pas les réseaux sociaux et leur impact : nettoyez les vôtres, créez vous un profil pro, sur Facebook ou Twitter, n’hésitez pas à exploiter d’autres plateformes : Youtube, Instagram, Pinterest… Créez votre propre contenu sur votre blog ou dans les réseaux sociaux pour faire connaître votre expertise. Pensez toujours à apporter vos connaissances et de la valeur plutôt que de vendre vos services ou votre entreprise au risque de faire fuir ! Construire votre personal branding : Développez votre réseau Pour vous faire connaître, utilisez une stratégie à la fois online et offline. Suivez les influenceurs dans votre domaine sur les réseaux sociaux, échangez et discutez avec eux, assistez à des événements, soirées, meetups, rencontrez de nouvelles personnes... Animez et entretenez ce réseau en prenant aussi l’initiative des événements, en mettant en relation d’autres personnes entre elles, en rendant vous mêmes des services. Gardez en tête que développer son réseau est avant tout s’intéresser aux autres ! Construire votre personal branding : Surveillez votre réputation Enfin n’oubliez pas de surveiller votre réputation : soyez à l’affût de ce qu’on dit sur vous, sur Google, dans l’actualité, les médias, les autres sites internet et article… Répondez aux commentaires et aux questions qu’on vous pose. Analysez ce qu’on dit de vous et les tendances du marché.
Ouvre-moi un marché : le nouvel aventurier de l’international

Ouvre-moi un marché : le nouvel aventurier de l’international

Maxime Giannini
Auprès des fondateurs de start-ups et dans les milieux proches de l’innovation, on ne parle plus que de ce commercial de nouvelle génération, coqueluche des ressources humaines : le business developper, ou « bizdev ». Portrait d’un stratège, garant de l’expansion internationale des entreprises en hyper-croissance. Le « bizdev » est le nouvel aventurier de l’économie de l’innovation. Rares sont ceux qui saisissent l’ampleur de ses tâches et de ses responsabilités. Le business developpeur n’est pas seulement un commercial, et sa tâche n’est pas uniquement de prospecter et de fidéliser des clients sur son marché existant, mais surtout d’aller ouvrir de nouveaux marchés. Dans l’entreprise, il est lui-même entrepreneur, souvent amené à mener ses missions depuis l’étranger. En effet, dans une stratégie d’hyper-croissance, l’ouverture de nouveaux marchés internationaux est souvent une nécessité pour la pérennisation de l’entreprise et le “bizdev” est amené à coordonner les équipes sur place ou à gérer lui-même les opérations sur le terrain. Certains business developpers en viennent même à gérer plusieurs ouvertures de marchés en même temps, voyageant d’une capitale à l’autre pour rencontrer les acteurs locaux. Le business developper fait donc partie de cette nouvelle génération de nomades du travail, tantôt sur un bureau volant dans un open space, tantôt dans un train pour rencontrer un nouveau client à l’étranger. Il lui incombe aussi d’adapter l’activité de l’entreprise – voire ses produits - pour les pays cibles en tenant compte des spécificités de chacun d’entre eux. Son challenge : lancer, incuber et faire fortement croître l’activité dans de nouveaux pays, après avoir récolté les données nécessaires à une communication dans cet espace. Evidemment, le business development est loin d’être une profession homogène. Appliquant des techniques de communication, mais aussi des techniques commerciales ou de marketing, le “bizdev” est avant tout un couteau suisse, dont le travail varie selon qu’il travaille en BtoB ou en BtoC. Cependant, reste un point commun pour tous les bizdev : ils ont la fibre du développement international. Les entreprises peinent encore à recruter ces profils transversaux, ayant assez d’expérience, un bagage communicationnel suffisant, mais aussi une ouverture à des carrières fortement internationalisées. Si pour l’instant le bizdev est souvent recruté au stade junior, de nombreux commerciaux plus expérimentés commencent à s’intéresser à cette profession mutante, nécessitant combativité commerciale et ouverture culturelle. Pour les profils de business developpeurs, le CDI est parfois un statut moins satisfaisant que des statuts autonomes : freelances ou salariés en portage. En effet, dans ce nouveau métier, la nécessité d’autonomie permet aussi aux bizdev de choisir des statuts sociaux plus indépendants.
Les certifications HQE, BREEAM, LEED… Kesaco ?

Les certifications HQE, BREEAM, LEED… Kesaco ?

Maxime Giannini
Depuis 2010, la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) n’est plus seulement un effet de mode : c’est aussi et surtout un principe légal obligeant les entreprises cotées en bourse à indiquer dans leur rapport annuel une série d’informations relatives aux conséquences sociales et environnementales de leurs activités. Conséquence directe de cette loi et de ces effets sur l’image et la communication des entreprises à ce sujet, de nombreuses certifications ont vu le jour pour garantir un respect optimal de différents critères écologiques, notamment en termes de construction ou de rénovation de bâtiments. Les trois certifications les plus légitimes et reconnues d’entre elles dans ce domaine sont les certifications dites HQE, BREEAM ou encore LEED. Respectivement française, britannique et nord américaine, ces certifications s’intéressent à la conception, la construction et le fonctionnement de bâtiments écologiques. Si leur but est bien de limiter à court et à long terme les impacts environnementaux d’une opération de construction ou de réhabilitation – tout en assurant aux occupants des conditions de vie saine et confortable – les méthodes qu’elles utilisent pour vérifier cela ont un impact direct sur le coût, pour l’entreprise, de se faire certifier. Ainsi, la plus chère d’entre elles est HQE (Haute Qualité Environnementale) qui existe depuis 2004 et qui est délivrée depuis 17 ans maintenant par Certivea. Elle se compose de 14 critères dont: •    L’éco-construction : relation entre bâtiment et environnement, matériaux, chantier à faible impact, etc. •    L’éco-gestion : énergie, eau, déchets, maintenance. •    Le confort : hygrothermique, acoustique, visuel, olfactif. •    La santé : qualité sanitaire des espaces, de l’eau et de l’air. S’il faut compter environ 20 700€ pour faire certifier un immeuble de 10 000m2, HQE permet ensuite d’obtenir encore d’autres labels de performance énergétique, ce qui la rend incontournable en France. A titre d’exemple, 284 bâtiments en Ile-de-France l’avaient obtenue en 2015 . De son côté, la certification BREEAM (Building Research Establishment Environmental Assessment Methodology) regroupe un peu moins de critères (une dizaine en tout), ce qui la rend plus abordable financièrement. Pour un immeuble d’une surface identique au précédent, il faut compter cette fois 8 780€. Enfin, LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), avec ses 9 critères d’études, est la moins chère. Si son coût n’est « que de 6740€ », elle reste néanmoins peu recherchée en France pour l’instant. Cependant, et bien que pour le moment, ces trois certifications dominent principalement le marché du bâtiment en matière de respect de l’environnement, la création d’une plateforme dédiée à la responsabilité sociétale des entreprises créé en 2013 a pour mission de lancer une expérimentation de labels sectoriels dans le courant de l’année 2018, ce qui pourrait bien changer la donne. Ainsi, la mise en relation de ces nouveaux acteurs pourrait bientôt permettre l’émergence de nouvelles certifications, aussi bien sur le plan des modalités à respecter que des coûts à engager pour obtenir ces sésames tant convoités !
Intrapreneuriat : entreprendre de l’intérieur

Intrapreneuriat : entreprendre de l’intérieur

Maxime Giannini
Vous êtes génial ? N’est-ce pas que vous êtes génial ! Vous avez toujours la bonne idée, le petit trait de génie qui vous différencie. Vous savez, cette idée super que vous avez eu et dont vous avez un peu parlé autour de vous. Tout le monde vous a dit que c’était super et qu’il fallait absolument le faire. Oui, mais comment ? Quitter son job c’est risqué, non ? Et si je vous disais que là n’est pas la question, qu’il existe un moyen de créer et d’entreprendre sans devoir tout quitter ; vous me croirez ? Vous devriez ! Parlons intrapreneuriat. J’entends les mauvaises langues dire que c’est l’entreprenariat pour les peureux. Eh non ! C’est juste une autre conception des choses. L’intrapreneur ne ressent pas forcément le besoin de quitter son entreprise, il aime certainement ce qu’il y fait. Et c’est justement parce qu’il aime son travail qu’il a eu une idée d’amélioration pour l’entreprise, un moyen de rendre plus performant son propre travail ou la firme en général. Intraprendre, c’est inscrire son projet personnel dans la continuité d’autres projets plus grands pour les perfectionner, les approfondir ou les compléter. Appartenir à un tout qui nous dépasse peut-être rassurant, c’est vrai, il faut le reconnaître. Alors, parlons des avantages de cette pratique. Car oui, les avantages de l'intrapreneuriat sont multiples. Ils allient les points forts du salariat et de l’entreprenariat. D’abord, vous avez à votre disposition tout le savoir de l’entreprise ainsi que les compétences techniques (comme le service juridique ou comptable) et le savoir-faire de vos collègues. Vous avez également la sécurité du salariat. A l’abris d’éventuels risques, vous pouvez travailler plus sereinement sur le projet qui vous passionne. Et justement, l’intrapreneuriat vous permet d’ouvrir une parenthèse dans votre vie professionnelle pour explorer les joies d’entreprendre. D’avoir une idée et de tout mettre en œuvre du début à la fin pour la voir se concrétiser. C’est le genre d’exploration formatrice qui enseigne bien plus que tous les cours auxquels vous pourrez assister sur le thème. Développer ses compétences opérationnelles, mais également personnelles, comme la créativité, la ténacité. Intraprendre, c’est aller tâter ses limites, voir de quoi on est capable - spoiler, on est souvent très capable, plus qu’on ne le croit. En somme, il ne faut pas avoir peur d’oser entreprendre et encore moins d’intraprendre. Vous avez des idées tout le temps. Parfois mauvaises, souvent bonnes et quelques fois exploitables. N’hésitez pas à foncer si vous vous sentez l’âme d’entreprendre et de faire germer cette graine d’idée en fruits juteux.
La différence entre leadership et management

La différence entre leadership et management

Maxime Giannini
La différence entre Leadership et Management Des managers qui manquent de leadership, n’inspirent pas leurs collaborateurs ou n’arrivent pas à embarquer leur équipe sur un projet peuvent être à la fois source et symptôme de la démotivation, du stress et de la perte de sens au travail. Pourtant, on associe traditionnellement la figure du leader à celle du chef… donc du manager. Comment expliquer alors le fossé qui se situe parfois entre les deux ? Petite déconstruction de deux concepts qui ne vont pas toujours de pair ! Le management est une promotion, le leadership une décision Le poste de Manager est bien souvent le fruit d’une promotion. Pour gratifier un employé, on lui propose d’être promu au poste de Manager. Mais le management, ce n’est pas automatique ! Ce n’est pas parce que quelqu’un est bon dans son domaine d’expertise qu’il est forcément fait pour être manager, gérer des équipes et de l’humain, car cela demande des softs skills en plus des hard skills. Cela explique parfois pourquoi quelqu’un de compétent qui était excellent à son poste fait parfois figure de piètre manager… parce que ce n’est tout simplement pas le même métier ! A l’inverse, le leadership n’est pas une promotion mais une décision. Le leader d’une équipe peut être différent du manager, c’est celui ou celle qui inspire, qui encourage et motive les autres dans le travail. Il ou elle prend des initiatives, la décision de guider les autres. Ce n’est pas quelque chose qu’on lui impose mais une volonté personnelle. Par son exemplarité, sa force de travail ou son enthousiasme, il ou elle gagne la légitimité du leadership. Tout le monde peut être leader Le leadership n’est pas une question de hiérarchie. En effet, on peut être en position de domination hiérarchique (ex: le manager) et ne pas faire preuve de leadership. En réalité, les leaders se trouvent à tous les échelons de l’entreprise, au niveau des cadres comme des ouvriers. Chacun, à son échelle, dans sa division, peut être amené à faire preuve de leadership pour aider les autres, les conseiller, les motiver. On peut tous à notre niveau être amené à prendre des initiatives, des responsabilités, des décisions. Le vrai défi pour l’entreprise est alors de détecter ces leaders qui sont présents dans toutes les couches de l’organisation pour les valoriser, les faire monter en compétences et capitaliser sur leur leadership. Mais aussi d’encourager chaque employé, chaque collaborateur, à devenir un leader en montrant l’exemple ou les formant à ce nouveau rôle. La nécessité d’être formé(e) Si un manager manque de leadership, c’est parfois parce qu’on l’a promu sans le former. On lui a donné de nouvelles responsabilités et souvent plus de travail mais sans le former à la gestion d‘équipe et au leadership. Il existe pourtant des formations pour apprendre à se connaître, à connaître la façon de travailler des autres, gérer les conflits, prendre la parole en public, communiquer de façon non violente, qui sont des compétences encore peu identifiées et valorisées dans l’entreprise mais tellement nécessaires pour gérer les hommes et les femmes de demain.
L'argent fait le bonheur … jusqu’à 75 000 $ (65 000 €) par an

L'argent fait le bonheur … jusqu’à 75 000 $ (65 000 €) par an

Maxime Giannini
Deux chercheurs ont étudié la question du lien entre rémunération et bonheur. Ils ont établi qu’il existait bel et bien, l'argent fait le bonheur mais dans une certaine limite. Daniel Kahneman, prix Nobel d’économie et Angus Deaton, de Princeton, ont publié en 2010 une étude intéressante dans la revue académique Proceedings of the National Academy of Sciences. Objet de l’étude : y a-t-il un lien entre rémunération et bonheur, et dans quelle limite, selon quelle conditions ? Le panel était composé de 450 000 Américains. Résultat : oui, il y a bien un lien entre rémunération et bonheur et l’on peut conclure, en grossissant le trait, que l’argent fait bien le bonheur. Ou plutôt l’inverse en fait : la pauvreté fait le malheur. « La faiblesse des revenus exacerbe la douleur émotionnelle qui accompagne des malheurs comme le divorce, ou le fait d'être en mauvaise santé ou seul », écrivent Daniel Kahneman et Angus Deaton. L'argent fait le bonheur mais dans une certaine limite S’il l’on peut en déduire que l’argent peut faire le bonheur, les deux chercheurs montrent que c’est vrai jusqu’à un revenu de 75 000 dollars par an, mais pas au-delà. Autrement dit, pour chaque dollar supplémentaire gagné jusqu’à 75 000 dollars par an, on ajoute généralement une dose de bonheur à sa vie. Et pour chaque dollar gagné en moins en deçà, on enlève une dose de bonheur. Mais à partir de 75 000 dollars par an, ce lien n’existe plus. «Peut-être que 75.000 dollars est un cap au-delà duquel une augmentation du revenu n'améliore plus la possibilité des individus à faire ce qui compte le plus pour leur bien-être émotionnel, comme passer du temps avec leurs proches, éviter la douleur et la maladie, et profiter de leurs loisirs», notent les auteurs. En clair, ne vous évertuez pas à gagner plus que 75 000 dollars (environ 65 000 euros) par an, cela ne vous rendra pas heureux et pourrait même potentiellement agir négativement sur votre stress ou remplir votre emploi du temps outre mesure, ce qui pourrait vous empêcher de faire ce que vous aimez et de voir ceux qui comptent pour vous ! " L’argent fait le bonheur " , Fabien Salicis - Le Monde Après
L’indépendance du freelance plutôt que la dépendance du passé !

L’indépendance du freelance plutôt que la dépendance du passé !

Maxime Giannini
Why freelance? Une société qui pousse les gens à faire ce qu’ils aiment, à choisir pour qui ils veulent le faire. Voilà ce que proposera le monde après ! Après quoi me direz-vous ? Tout simplement lorsque les travailleurs indépendants se rendront compte qu’il est plus intéressant de varier les challenges et objectifs. Que les consultants se verront gratifiés pour leur travail à chaque mission, alors qu’une seule et même entreprise prendra pour acquis tout travail effectué, quand bien même privation et multiples efforts seraient fournis... ; « logique il est notre employé non ?! ». Alors non, personne n’a envie de se complaire dans la lassitude de la monotonie. Une expérience différente à chaque mission enrichit d’autant plus les compétences d’une personne. Cela (sur)développe les capacités d’adaptations du freelance indépendant, ô combien indispensables dans un monde en perpétuelle évolution. Et l’autonomie, parlons-en ! Rien de plus agréable que de se sentir libre dans son travail sans devoir être cantonné dans un bureau. Il est d’autant plus important pour le freelance de pouvoir se consacrer sur le résultat produit. Plutôt que de s’attarder sur des règles établies et inchangées alors qu’il est indispensable de vivre avec le changement. On en revient donc à l’adaptation. L’entreprise de demain sait exploiter les forces du freelance tout en respectant son autonomie, le consultant est plongé au cœur de la stratégie du client, que sa mission soit à court ou long terme. Il devient un atout majeur dans la réflexion et le développement des projets de l’entreprise. Alors qu’il n’était pas chose aisée de s’émanciper tant administrativement (les démarches sont longues et ne permettent pas à l’indépendant d’être focus a 100% sur sa mission) que d’un point de vue sécurité (le salariat offre une sécurité certaine). Il est désormais possible au freelance d’allier son indépendance avec la facilité et la sécurité du salariat, via des sociétés qui vous permettent d’optimiser votre temps en ne vous concentrant que sur la mission. Le freelance se voit ainsi comblé dans ses attentes d’indépendance et de « multi skills improvement ». Let’s change the way we think, Let’s work differently.
Un Horizon de travail sécurisé

Un Horizon de travail sécurisé

Maxime Giannini
S’ouvrir un horizon de travail sécurisé Que voulons nous? Depuis le début de l’ ère industrielle, l’homme n’a toujours recherché que deux choses, l’intégration dans un groupe sécuritaire et la liberté de ses mouvements. Laissez-moi vous expliquer cette phrase controversée qui impose un dilemme à notre cerveau… Appartenir à un groupe nous permet de se sentir en sécurité, protégés par les membres de notre société. Cela implique que si nous réussissons ensemble, nous ratons aussi ensemble ; et donc peu importe les impacts, ils seront minimisés. Être indépendant c’est n’appartenir à personne, c’est un besoin qu’a l’homme de se sentir maître de son destin, la joie de voir un projet personnel se concrétiser et se dire que la réussite n’appartient qu’à lui mais malheureusement, si échec il y a, on ne peut s’en prendre qu’à soi. Comment faire Alors comment pouvoir rallier les deux, Comment allons-nous réfléchir différemment ? Comment faire du monde de demain, un monde qui nous permettra d’appartenir à une communauté sécuritaire, tout en étant libre de nos actions tout en pouvant faire la différence en faisant profiter les autres de nos points forts ? Qui sommes nous? Openwork est donc né sur ces bases, celles d’un échange constant entre les besoins d’une entreprise et les compétences d’un indépendant. En permettant à ce dernier d’avoir la protection et la sécurité qu’offre le salariat, et aux entreprises de pouvoir accéder à une mer de talents sur demande. Ainsi, L'entreprise est heureuse de pouvoir utiliser ces ressources de manière externe,et l’humain est comblé dans son besoin de partager ses capacités propres, en étant libre de choisir quand et pour qui. Il n’en sera que plus heureux, doublement même, car la communauté openwork lui offre la possibilité de faire partie d’une entité qui pense comme lui : différemment. Une indépendance sécurisée par un contrat salarial? Une envie de découvrir le monde du travail qui nous attends demain? Bienvenue chez Openwork, le f uture of work! #LeMondeApres
Interview de Bénédicte Bailleul : du salariat à l’indépendance

Interview de Bénédicte Bailleul : du salariat à l’indépendance

Maxime Giannini
Après avoir consacré toute sa carrière dans le domaine de la formation dont dix ans d’expérience dans la direction générale de filiale, Bénédicte Bailleul accompagne désormais les entreprises en tant que consultante indépendante. Nous l’avons interviewée sur son parcours, ses choix et lui avons demandé quelques conseils pour ceux qui voudraient se lancer. Quel est votre parcours ? Je suis passionnée par le développement des compétences, j’ai fait toute ma carrière dans la formation. J’ai toujours travaillé dans la prestation de services, ce qui me donne la double casquette Formation / Commercial. D’abord chez Cegos pendant 15 ans, où j’ai exercé plusieurs fonctions : consultante, puis responsable pédagogique, puis directrice de projet avant d’intégrer le comité de direction de l'activité Interentreprises et le comité exécutif comme directrice de pôles de consultants. Puis je suis devenue Directrice Adjointe chez Unilog It Training (CGI) pour travailler sur la création et le développement de l’offre d’outsourcing. Puis j’ai  rejoint le groupe Demos pour développer l’activité Externalisation de la formation. Enfin, j’ai rejoint FuturSkill , la filiale Formation de Manpower à la direction des activités conseil, ingénierie et externalisation. Aujourd’hui, je suis passée à une nouvelle étape en tant que consultante indépendante où je souhaite désormais apporter ma solide expérience du métier, mes compétences et ma capacité à conduire les équipes auprès des entreprises et cabinets de conseil. Sur quelles missions intervenez-vous en tant que consultante ? Pour les grandes entreprises, j’interviens sur les enjeux de transformation RH, à la fois stratégiques et opérationnels (politique RH, stratégie et mise en oeuvre de la formation et du développement des compétences, création d’université d’entreprise, externalisation RH, mise en place de Centres de Services Partagés RH). Pour les cabinets de formation et de conseil, j’interviens en stratégie, réorganisation, restructuration, pilotage des opérations, développement commercial. Pour les ESN (Entreprises de Services du Numérique, anciennement SSII), j’interviens sur le développement commercial et le Business Process Outsourcing (BPO). J’interviens dans le cadre de missions de conseil et de mangement de transition. Après votre carrière en tant que salariée et à des postes de direction, que vous apporte le portage salarial ? Devenir consultante indépendante est un véritable choix qui nécessite de tourner la page. Ce n’est pas facile au début mais c’est un choix qui doit être fait. J’ai essayé au tout départ de ne pas faire complètement ce choix avant de me rendre compte qu’ on ne peut pas chercher un CDI et des clients en même temps. Après avoir fait quasiment toute ma carrière en entreprise, le portage salarial apporte une grande liberté tout en facilitant et sécurisant tous les aspects administratifs. Cette liberté se manifeste de plusieurs façons : par l’autonomie procurée, la diversité et l’intérêt des missions, le rythme de travail qu’on choisit. Pourquoi avez-vous choisi Openwork - Le Monde Après ? J’ai suivi les conseils de PremiumPeers dont je suis membre, une communauté qui rassemble des consultants seniors, spécialisés dans la transformation des entreprises. Je ne suis pas déçue, Openwork apporte plusieurs avantages : l’allègement administratif : tout est digitalisé et l’équipe est très réactive. Lorsque j’ai signé un contrat, toutes les formalités administratives ont été bouclées le même jour. le réseau : Openwork apporte un réseau à ses consultants en organisant des événements. J’ai participé à plusieurs ateliers de très bonne qualité qui m’ont aussi permis de rencontrer des personnes intéressantes. le taux de commission compétitif l’équipe très sympa Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui a peur de se lancer en tant qu’indépendant ? Ne pas rester seul : lorsqu’on est indépendant, on peut avoir tendance à s’isoler. C’est un piège dans lequel il ne faut pas tomber. Au contraire, il faut s’entourer au maximum, développer et cultiver son réseau. Le réseau, c’est vraiment la clé (découvrez notre article de blog à ce sujet : Freelance, comment conserver du lien social au travail) Etre clair sur son offre : il faut définir précisément celle-ci et se focaliser sur son domaine de compétence, ne pas s’éparpiller. Continuer à développer ses compétences : les compétences, cela ne se stocke pas, il faut les entretenir, continuer à en acquérir, se mettre constamment à jour. Cela passe par s’informer sur internet, participer à des conférences, lire…tout ce qui peut permettre de continuer à s’instruire !

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