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Portage salarial : comment gérer les accidents du travail ?

Portage salarial : comment gérer les accidents du travail ?

Comment réagir si je suis victime d’un accident de travail ? L’article L-411-1 du code de la sécurité sociale applique le même régime entre les salariés classiques et les travailleurs portés. En effet, il dispose qu’un accident du travail est un accident survenu par le fait ou à l’occasion de votre travail. Pour que ce dernier soit retenu et puisse faire l’objet d’un arrêt de travail, il faut que certaines conditions soient réunies : L’accident doit s’être déroulé dans le cadre du travail Le salarié doit pouvoir prouver que l’incident est survenu lorsqu’il était subordonné à son employeur L’accident doit être à l’origine d’une lésion. 🚨 Très important pour les consultants en portage salarial, un accident lors du télétravail est présumé accident du travail. ⏰ Dès lors, vous disposez de 24h pour faire état de votre accident et en informer votre entreprise de portage. Puis, sous 48h, votre entreprise devra remplir une déclaration d’accident du travail et l’envoyer à votre assurance maladie ! ℹ️ Bon à savoir : c’est à l’entreprise de portage de déclarer l’accident du travail même s’il est intervenu dans l’entreprise cliente. Vos indemnités à la suite d’un accident du travail En tant que salarié porté, vous bénéficiez de la même couverture sociale appliquée aux autres salariés. Vos soins sont pris à 100% en charge et pour compenser votre perte de salaire dû à votre accident de travail, vous pouvez également recevoir des indemnités journalières. Pour en bénéficier, le nombre d’heures durant lesquelles vous avez travaillé au cours des mois précédents et le montant de vos salaires perçus seront pris en compte. ℹ️ Pour info : le montant de vos indemnités journalières évolue dans le temps : 🚨  Pendant les 28 premiers jours suivant l'arrêt de votre travail : l'indemnité journalière est égale à 60 % de votre salaire journalier de base, avec un montant maximum plafonné à 205,84 € au 1er janvier 2020. 🚨  A partir du 29e jour d'arrêt de travail : l'indemnité journalière est majorée et portée à 80 % de votre salaire journalier de base, avec un montant maximum plafonné à 274,46 € au 1er janvier 2020. 🚨  Au-delà de trois mois d'arrêt de travail : votre indemnité journalière peut être revalorisée en cas d'augmentation générale des salaires après l'accident. De plus, si de votre accident du travail vous a rendu inapte, vous pourrez prétendre à une indemnité temporaire d'inaptitude. Enfin, en cas de rechute de votre état directement lié à l’accident de travail subi, vous continuez de bénéficier d’une prise en charge optimale des soins médicaux nécessaires et à de nouvelles indemnités journalières ! 👉 Etre salarié porté ne fait pas de vous un salarié délaissé ! Si vous souhaitez en savoir plus sur les arrêts de travail en portage salarial, n’hésitez pas à consulter notre article sur la question.
Quel est le coût du portage salarial ?

Quel est le coût du portage salarial ?

Aujourd'hui, vous êtes près de 70 000 travailleurs indépendants a avoir opté pour le portage salarial en France. 😉 Ce statut juridique particulier s’impose petit à petit dans le paysage et la première convention collective a été signée récemment. Toutefois, de nombreuses questions sont soulevées pour comprendre le fonctionnement du portage salarial. Dans cet article, nous allons parler du coût du portage salarial pour les travailleurs et les entreprises. Le coût du portage salarial pour les travailleurs ✌️ En tant que travailleur (ou plutôt salarié porté), vous conciliez liberté et stabilité en conservant votre statut de freelance tout en étant salarié d’une entreprise portage salarial. Votre entreprise de portage salarial, votre client et vous-même devez signer un contrat tripartite définissant le cadre de la mission que vous devrez effectuer. Le coût du portage salarial comprend les frais administratifs et les frais de fonctionnement liés au portage salarial. Comme l’indique cet article d’OpenWork, la gestion administrative est prise en charge par l’entreprise de portage salarial. 👍 Cette dernière offre donc des services de facturation, de production des salaires comprenant également les émoluments et les dividendes, le suivi de l’activité et des règlements, la gestion des frais professionnels, etc. Par ailleurs, l’entreprise de portage salarial doit disposer d’une garantie financière prévue par la loi afin de rémunérer les consultants en cas de problème de paiement avec le client. Tous ses services fortement précieux pour tout freelance sont proposés par OpenWork via une application mobile et internet. 👉 Ainsi, le coût du portage salarial est de 7% plafonné à 600€ pour le salarié. A toute fin utile, il est possible d’effectuer une simulation de son salaire en tant que salarié porté via cet outil disponible sur le site d’OpenWork. Le coût du portage salarial pour les entreprises ℹ️ Pour une entreprise cliente, le coût du portage salarial englobe tous les frais de la mission. Ces frais comportent notamment le salaire brut négocié et des frais supplémentaires qui peuvent être négociés pour répondre aux besoins spécifiques d’une mission. Il est également possible de calculer le coût du portage salarial pour l’entreprise grâce à l’outil disponible sur le site d’OpenWork. 🔍 Pour plus d’informations sur le fonctionnement du portage salarial , vous pouvez consulter le blog d’OpenWork et les articles de l’Express sur le portage salarial.
Les indispensables à connaître avant de se mettre en freelance

Les indispensables à connaître avant de se mettre en freelance

Se mettre en freelance : quel statut choisir ? Avant de choisir l’activité d’indépendant, il faut comprendre que le statut de freelance correspond en réalité à différents cadres juridiques. Se mettre en freelance, c’est donc tout d’abord comprendre quels types de statuts existent lorsqu’on souhaite se lancer dans l’ auto-entrepreneuriat. En France, les formes les plus courantes du statut de Freelance sont les entreprises individuelles, parmi lesquelles on compte l’ Entreprise Individuelle (EI), l’ Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL), et enfin le régime Auto-entrepreneur. Un autre cadre juridique classe les freelance au sein des entreprises unipersonnelles, parmi lesquelles on trouve plusieurs statuts, dont l’ Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL), et la Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle (SASU). Pour chacun de ces statuts, il est nécessaire de s’inscrire au Répertoire des Métiers ou au Registre du Commerce et des Sociétés, avec pour exception le régime Auto-Entrepreneur, le seul qui peut être combiné avec une activité salariée. Choisir de se mettre en freelance , c’est donc tout d’abord choisir le bon statut. Pour cela, le portail Le portail de l'Économie, des Finances, de l'Action et des Comptes publics propose un guide très détaillé pour savoir quel statut choisir. Néanmoins quelque soit le projet, on conseille souvent de commencer par le premier statut ( EI), idéal pour se mettre en freelance, puisqu’il suit le régime de la micro-entreprise. En tant que micro-entrepreneur, le freelance paye des charges considérablement moins élevées qu’une entreprise comme une entreprise unipersonnelle. En contrepartie, il ne doit pas dépasser les seuils de chiffre d’affaires 2019 de la micro-entreprise – 170 000 € pour une activité de commerce ou d’hébergement, 70 000 € pour de la prestation de services ou une activité libérale. Pour se mettre en freelance, c’est le statut idéal, car très souple et facile à aborder. Mais une fois votre statut choisi en fonction de votre projet, la vie de freelance est assez particulière : elle implique notamment de ne pas forcément avoir une vie professionnelle aussi riche socialement que quelqu’un travaillant tous les jours au même endroit, avec une équipe dédiée. Se mettre en freelance, ça n’est pas s’isoler ! 1. Attention à l’isolement : un des plus grands risques de se mettre en freelance, c’est l’isolement. En effet, si travailler seul correspond à beaucoup de personnes, qui s’estiment alors plus efficaces, ne devoir se livrer qu’à soi-même peut parfois se vivre difficilement. D’où l’importance de garder des connexions constantes dans son travail, ce pour quoi les espaces de coworking sont très utiles, comme le montre cet article. Pour réussir en tant que travailleur indépendant, ce qui importe avant tout c’est de maintenir un contact avec l’extérieur : aller déjeuner avec son client et entretenir une relation humaine, ça n’a pas de prix. 2. Ne pas oublier de développer son réseau. Se mettre en freelance, c’est aussi parfois avoir la “tête dans le guidon” c’est-à-dire enchaîner les missions sans se soucier de ses futurs clients. Pour éviter cela et se retrouver soumis aux aléas des demandes, l’étape du réseautage est indispensable. Un conseil utile et simple : user des réseaux sociaux. Filez sur la rubrique " Événements" de Facebook et faire des recherches par mots-clés selon votre domaine de compétences : conférences, concerts, apéros thématiques... émergent alors de nombreuses opportunités pour développer son réseau. Une fois votre statut choisi, se mettre en freelance est donc un travail de tous les jours : il s’agit d’entretenir, de développer votre réseau. Plus largement, pour conserver le lien social indispensable à tout travailleur au quotidien, lisez aussi cet article du blog : https://www.lemonde-apres.com/fr/blog/freelance-comment-conserver-du-lien-social-au-travail.
Guide pour devenir consultant informatique

Guide pour devenir consultant informatique

Devenir consultant informatique (en portage salarial, voici la définition) est de plus en plus accessible, même pour un profil junior. En effet, la demande des entreprises pour des experts en système d’information est exponentielle. De nombreuses plateformes de mise en relation entre entreprises et travailleurs indépendants surfent par ailleurs sur cette vague et affichent d’impressionnants taux de croissance. L’environnement est ainsi de plus en plus favorable pour un consultant informatique. Ce dernier, même junior, a toutes les chances de trouver rapidement des missions. Voici un petit guide pour débuter un carrière de consultant informatique (et pourquoi pas en portage salarial?) : Qu’est-ce qu’un consultant informatique ? Il convient de définir en amont son projet professionnel. Vous pouvez vous aider de cet article du blog pour vous poser les bonnes questions avant de vous lancer. Le métier de consultant informatique est en effet exigeant et nécessite un important effort personnel. En tant que travailleur indépendant, le consultant informatique a pour mission de proposer des solutions techniques à des organisations qui souhaitent faire évoluer leur système d'information. Le consultant informatique indépendant analyse donc les besoins du client et livre ses recommandations pour améliorer les systèmes d’informations de l’entreprise. Il travaille conjointement avec l’équipe SI de l’entreprise pour mener à bien le projet. Avec de l’expérience, un consultant informatique pourra espérer évoluer en prenant des responsabilités au sein d’une entreprise jusqu’à devenir directeur des systèmes d’informations ou directeur informatique. Se lancer comme consultant informatique Profil junior ou senior, il est important de débuter la prospection de missions sur des bases solides. Décrocher une mission a déjà fait l’objet d’un article sur le blog dont vous pouvez vous inspirer. Il existe de nombreuses ressources sur d’autres sites pour réussir au mieux la prospection de missions. Le blog d’Openclassrooms et ceux des plateformes de mise en relation comme Malt ou Comet recèlent de nombreux pertinents conseils. Devenir consultant informatique Une fois que les missions s’enchaînent, il est conseillé de sécuriser sa carrière professionnelle en stabilisant son statut et consolidant ses compétences. Vous avez le choix de rester en indépendant ou devenir un salarié porté pour concilier sécurité et liberté de l’emploi. Par la suite, il est important d’entretenir son expertise dans un domaine spécialisé. L’apprentissage continue est donc la règle pour garder une longueur d’avance comme le recommande cet article du blog d’ Openclassrooms. Pour conclure, vous connaissez maintenant les grandes lignes pour devenir consultant informatique junior. Cela passe par définir son projet professionnel, optimiser son profil sur internet, rechercher des missions, choisir un statut social et nécessite de continuer à apprendre pour monter en compétences. Il est temps de vous laisser sur une vidéo de présentation de la YouTubeuse kchoi, une consultante basée à New-York qui tient un vlog sur son quotidien :
Portage salarial et frais professionnels

Portage salarial et frais professionnels

Portage salarial et frais professionnels Les salariés portés bénéficient de frais professionnels, contrairement aux autoentrepreneurs. Découvrez le montant de ces frais en 2020. Qu’est-ce que les frais professionnels ? Les frais professionnels correspondent à des dépenses engagées par un salarié lors de son activité professionnelle. Ces frais sont à la charge de l’employeur. Dans une activité de salarié porté, les frais professionnels sont notamment les frais de communication et les frais de déplacement… Les frais professionnels en portage salarial On distingue deux types de frais professionnels pour un salarié en portage salarial. Il y a les frais de mission, qui sont facturés au client après négociation pour leur prise en charge avant le début de la mission. Ils s’ajoutent au salaire net perçu par le salarié porté. A côté de ces frais de mission, on retrouve les frais de fonctionnement. Il s’agit de frais professionnels qui ne sont pas facturables au client. Ce sont par exemple l’abonnement internet du salarié porté,sa ligne professionnelle… Ce sont des frais professionnels qui sont liés à l’activité même du salarié et non pas à une mission en particulier. Les frais professionnels ne sont pas imposables, et ne sont pas soumis aux cotisations sociales. Ils peuvent être pris en compte dans le calcul de la rémunération du salarié porté, Ils peuvent représenter environ 20% du salaire brut et sur présentation de pièces justificatives. Les frais de déplacement Parmi les frais professionnels, on retrouve les frais associés aux déplacements. Ces frais sont remboursés sur une base forfaitaire, définie annuellement par l’URSSAF. Pour 2020 ces frais forfaitaires sont : Pour les repas suivant le barème de l'URSSAF 2020 : - Repas Journalier : 9,30€/repas - Repas cantine : 9,70€/repas En ce qui concerne les repas grands déplacements : - Moins de 3 mois : 19€/repas - De 3 mois à 24 mois : 16,20€/repas - Plus de 24 mois : 13,30€ Pour les Logements et petit déjeuner en région parisienne : - Moins de 3 mois : 68,10€/nuit - De 3 à 24 mois : 57,90€/nuit - Plus de 24 mois : 47,70€/Nuit Pour Les logements et petits déjeuners en province : - Moins de 3 mois : 50,50€/nuit - De 3 à 24 mois : 42,90€/nuit - Plus de 24 mois : 35,40€/nuit Retrouvez un rappel des frais qui sont à votre charge en portage salarial et nos conseils pour bien choisir votre société de portage.
Comment se lancer en freelance ?

Comment se lancer en freelance ?

De plus en plus de salariés souhaitent se lancer en freelance. La perspective d’être indépendant, de choisir ses missions et même d’améliorer sa rémunération séduit en effet de plus en plus de Français. En tant que freelance, les perspectives de carrières sont notamment attrayantes dans les domaines du web, de la cybersécurité et de l’intelligence artificielle. Toutefois, il n’est pas simple de faire le grand saut et de passer du statut de salarié à freelance. Voici donc quelques conseils pour se lancer en freelance après une courte vidéo d’introduction par le blogueur Harry JMG : Comment trouver une mission ? Une fois la décision prise de se lancer en freelance, il convient de bien se familiariser avec le monde du freelance. Cet article du blog introduit les principaux moyens de trouver une mission comme freelance. Pour schématiser, il existe trois façons de décrocher une mission : via les plateformes, via LinkedIn et via son réseau. Décrocher une mission via les plateformes en ligne Si LinkedIn et votre propre réseau permettent souvent de se lancer en freelance, il est nécessaire de rapidement s’inscrire sur les plateformes de mise en relation entre indépendants et clients. Pour vous aider à pénétrer ce monde, Openclassrooms a rédigé un excellent article recensant les principales plateformes. Il existe en effet de nombreux modes de fonctionnement et de rémunération ; certaines plateformes sont également spécialisées dans un domaine particulier. Optimiser son profil Avant même de décrocher votre première mission, vous devez vous concentrer sur l'amélioration de votre profil professionnel en ligne. Vous pouvez par exemple travailler votre profil LinkedIn ou vous servir de Twitter pour améliorer votre image sur internet en suivant les conseils de cet article du blog. L’optimisation de votre profil améliorera votre référencement SEO et la visibilité de votre profil professionnel auprès des employeurs et futurs clients. Se lancer en freelance ou en salarié porté ? Après avoir décroché votre première mission, il serait temps de réfléchir à votre statut. Auto-entrepreneur ; Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée ; Société par actions simplifiée unipersonnelle ; portage salarial ; le choix est vaste ! Toutefois, le portage salarial offre de nombreux avantages que vous pouvez lire sur cet article. En effet, le portage salarial permet de vous concentrer sur vos missions en déléguant les tâches administratives à l’entreprise de portage salarial. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter cet article du blog.
Envisager le temps partiel pour une reconversion professionnelle : suivez le guide !

Envisager le temps partiel pour une reconversion professionnelle : suivez le guide !

Les volontés de reconversion se font de plus en plus nombreuses : changer de voie professionnelle durant une carrière est presque devenu la norme, face à un monde du travail en proie à la recherche de sens. Réussir sa réorientation professionnelle comme l’indique cet article du blog, est à la portée de tous. Le temps partiel peut constituer une des solutions à envisager. Mais de quel temps partiel parle t-on réellement ? Le temps partiel, élément de transformation du marché du travail des dernières décennies Avant d’être un moyen d’effectuer une reconversion professionnelle, le temps partiel est un moyen d’accorder plus de temps à d’autres pans de sa vie personnelle. Or la DARES (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère du travail) indique que “ la part du temps partiel dans l’emploi a doublé depuis le milieu des années 1980. Représentant à peine plus d’un emploi sur vingt à la fin des années 1960, le temps partiel concerne un emploi sur dix à partir de 1983 et près d’un emploi sur cinq en 2015.” Rien d’étonnant lorsqu’on considère que “la diffusion de l’emploi à temps partiel est un des éléments de la transformation du marché du travail des dernières décennies. ” Mais de quel temps partiel parle t-on ? La DARES dresse le portrait de 6 grands types de parcours professionnels, parmi les personnes ayant été à temps partiel à un moment donné entre 20 et 40 ans. Temps partiel continu : un emploi stable à temps partiel plutôt tertiaire, hors commerce, plus souvent pour des cadres à 40 ans (fonctionnaire de catégorie A, ingénieur...). Temps partiel tardif : un emploi à temps partiel stable pour des femmes en couple (celles qui arrêtent de travailler suite à une naissance et optent pour un emploi à temps partiel lorsque leurs enfants sont plus grands). Temps partiel peu actif : un lien lâche à l’emploi qui concerne davantage des femmes ayant deux enfants ou plus (alternance entre des emplois courts à temps complet et à temps partiel, et des périodes d’inactivité). Temps partiel transitoire : un lien fort à l’emploi pour des personnes plutôt peu diplômées (temps partiel entre deux emplois à temps complet, secteur du commerce, difficultés à construire une vie de famille). Temps partiel permanent : un lien fort à l’emploi et des situations professionnelles stables à 40 ans (94 % de femmes, souvent en CDI et non cadres). Le temps partiel permanent comme réponse à un souhait d’alléger la charge de travail pour mieux concilier vie professionnelle et vie familiale. Temps partiel d’entrée : l’emploi à temps partiel comme « ticket d’entrée » dans l’emploi à temps complet (ces parcours sont suivis à 40 % par des hommes alors qu’ils ne représentent que 16 % de la population à temps partiel entre 20 et 40 ans). Autant de situations qui amènent à comprendre que l’adoption du temps partiel est un projet à construire avec son employeur pour faire aboutir un projet de vie bien particulier. Le temps partiel pour une reconversion professionnelle, une aide à prendre en compte. Un des projets de vie qui s’y adapte particulièrement est la reconversion professionnelle. En effet, dans le cadre d’une création d’entreprise, le temps partiel constitue une des aides possibles. Pour le salarié qui souhaite lancer son activité, deux choix s’offrent à lui, partir avec un congé création ou reprise d’entreprise, ou bénéficier d'une période de travail à temps partiel. Les conditions sont simples, le salarié doit pouvoir justifier de “ 24 mois d'ancienneté, consécutifs ou non, dans l'entreprise ou dans les autres entreprises du groupe ”. Il doit ensuite fixer la durée de son temps partiel, fixée par son accord de branche ou convention collective, durée qui en absence d’accord, s’élève jusqu’à un an. Enfin, la demande du salarié doit être effectuée au moins 2 mois avant le début du temps partiel. La deuxième situation possible pour un salarié qui cherche à se reconvertir, est celle de la formation à temps partiel (CIF, « Congé Individuel de Formation »). Le CIF permet de suspendre un contrat de travail pour suivre une formation, sa durée minimum équivaut à 30 heures et elle est d'un an maximum pour une formation à temps plein, et de 1200 heures si elle est à temps partiel. Les conditions pour faire un CIF étant très souples, il constitue souvent l’option idéale pour commencer une formation en temps partiel. Le temps partiel dépend donc de nombreux cas de figure. Mais de nombreuses solutions existent pour trouver la meilleure option lors d’une reconversion professionnelle. Pour en savoir plus, lisez aussi cet article du blog pour savoir comment gérer le travail à temps partiel au quotidien.
Les règles de versement des IJSS

Les règles de versement des IJSS

IJSS : Les règles de versement Les IJSS sont parfois sources de confusion : CPAM, subrogation, indemnités complémentaires… on vous clarifie les règles d’indemnisation ! Qu’est-ce que les IJSS ? Le site de référence : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F3053 Les indemnités journalières de la sécurité sociale (IJSS) sont versées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie aux salariés en arrêt de travail. Elles représentent 50% du salaire journalier de base. Ce salaire correspond à la moyenne des salaires brut des trois derniers mois divisés par 91,27. Le salaire utilisé pour le calcul est plafonné à 1,8 fois le SMIC appliqué le mois précédent l’arrêt de travail. Les IJSS représentent 50% du salaire journalier, avec un plafond de 45 euros. Au bout de trois mois ce plafond est relevé à 60 euros pour les salariés ayant au moins trois enfants à charge. Ces indemnités sont versées après un délai de carence de trois jours. Quelles sont les conditions pour toucher les IJSS ? Afin de toucher les IJSS versées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, il faut pouvoir justifier de plusieurs éléments. Pour toucher les IJSS lors des six premiers mois de l’arrêt de travail, il faut justifier lors du début de l’arrêt de travail : un total d’heures travaillés de 150h cours des trois derniers mois ou d’avoir cotisé lors des six derniers mois sur une rémunération globale au moins égale à 1015 fois le montant du SMIC horaire. Pour continuer à toucher les IJSS après six mois, il faut avoir été affilié à la Sécurité Sociale au moins un an avant le début de l’arrêt de travail, avoir travaillé au moins 600 heures sur l’année précédent l’arrêt de travail ou avoir cotisé sur la base d’une rémunération globale égale au minimum à 2030 fois le SMIC horaire au cours des douze derniers mois. Une vidéo qui vous récapitule tout ça : https://www.youtube.com/watch?v=rie0oDtAZT0&feature=emb_title. IJSS et principe de subrogation Dans certaines entreprises, les IJSS ne sont pas versées directement par la CPAM mais par l’employeur, par le principe de subrogation. Avec le principe de subrogation, c’est l’employeur qui va verser directement à son salarié les indemnités journalières, et sera ensuite remboursé par la CPAM. Les indemnités versées par l’employeur ne peuvent pas être inférieures à celles que toucherait le salarié indemnisé directement par la CPAM. On vous explique tout sur l’arrêt maladie en portage salarial : https://www.lemonde-apres.com/fr/blog/larret-maladie-quand-vous-etes-en-portage-salarial IJSS complémentaires Certaines entreprises versent des indemnités complémentaires aux IJSS. Cela concerne les salariés bénéficiant d’au moins un an d’ancienneté dans l’entreprise au 1er jour d’absence, et qui transmettent dans les 48 heures un certificat médical à leur employeur. Ces indemnités sont versées après un délai de carence de 7 jours. La durée de versement des indemnités dépend de l’ancienneté dans l’entreprise. Vous pouvez consulter le récapitulatif ici : https://www.editions-legislatives.fr/maintien-de-salaire#5. Si vous avez déjà bénéficier de ce dispositif au cours des douze mois précédent, la durée du versement des indemnités complémentaires est déduite du nombre de jours durant lesquels vous avez déjà été indemnisé. Sauf dispositions conventionnelles plus favorables, vous pouvez toucher avec les indemnités complémentaires jusqu’à 90% de votre rémunération brute. Ce montant est ensuite réduit à 66,66% après 90 jours d’arrêt.
Se lancer dans le portage salarial avec le web

Se lancer dans le portage salarial avec le web

Les métiers du web ont le vent en poupe. Le niveau de rémunération pour un développeur web est parfois similaire à un diplômé de grande école de commerce. La demande des entreprises est en effet exponentielle depuis plusieurs années. La révolution internet et des Nouvelles Technologies de l’Information et de Communication ont fait émerger de nouveaux métiers parfaitement adaptés au portage salarial. Le portage web désigne ainsi une forme d’emploi atypique : un développeur web freelance porté par une société de portage. Comment concilier sécurité, liberté et rémunération alléchante en se lançant dans le portage web ? Cet article donne quelques pistes à explorer pour ceux qui souhaitent suivre cette voie. La demande pour le portage web et mobile. Il existe un consensus autour de la question des métiers du web. Loin d’être une mode liée à la bulle internet, les métiers du web ont encore de beaux jours devant eux. Faire fonctionner une application ou un site internet nécessite des compétences sans cesse nouvelles et innovantes. Comme le démontre cet article du blog, savoir coder commence à s’apprendre même à l’école. D’un autre côté, le métier de freelance n’est plus une forme exotique de l’emploi. Cela concerne désormais 11 millions de travailleurs selon la plateforme Malt. Concilier les deux est le pari lancé par le portage et le web / mobile. Gérer les difficultés du portage web Être un développeur web porté par une société de portage salarial n’exempte pas de rencontrer certaines difficultés. L’ avantage du portage salarial est de vous laisser vaquer à vos occupations professionnelles sans avoir à gérer les aspects juridiques, comptables, commerciales et administratives du freelance. L’une des difficultés pour un freelance est de recevoir la rémunération de sa mission en temps et heure. Cette problématique est justement résolue par la société de portage salariale qui s’occupe à la place du freelance de récolter les fonds auprès de l’entreprise. Par ailleurs, la négociation du contrat entre le freelance et l’entreprise est souvent à l’avantage du dernier car il est difficile pour le freelance d’estimer sa valeur de marché et de négocier seul. Il convient alors de comparer son taux journalier avec les autres freelances de votre domaine de compétences. Se lancer dans le portage web & mobile Pour devenir web porteur, il n’existe pas un chemin balisé mais des parcours et profils particulièrement variés. Suivre une formation initiale en école d’ingénieur ou accomplir DUT en informatique constitue l’une des portes d’entrée à ce métier. A défaut, il est possible d’acquérir les compétences requises via une formation sur Openclassrooms ou un cours intensif en développement web dispensé par des structures privées telles que LeWagon. Avant de se lancer dans le portage web, il serait approprié de commencer le soir et week-end en parallèle d’une activité salariée. Cela évite de se jeter dans le grand bain d’un seul coup et de subir un stress qui va de pair. D’autres vous conseilleront de négocier un temps partiel ou prendre un congé de quelques mois pour commencer votre activité en réduisant les risques. Trouver des missions est en effet une tâche moins simple qu’il n’y paraît. Il convient de participer à des formations dans ce domaine telles que celles proposées gratuitement par OpenWork. Il existe également de nombreuses plateformes pour trouver des missions : Freelancerepublik, Comet et Toptal sont parmis les plus connues. L’équipe d’OpenWork reste à votre disposition pour vous aider à franchir le pas et vous lancer dans le portage web & mobile !
Portage salarial - Salaire complémentaire : comment le calculer?

Portage salarial - Salaire complémentaire : comment le calculer?

La différence entre salaire complémentaire et salaire de base Comprendre sa fiche de paie en tant que porté salarié n’est pas toujours chose facile. De nombreuses complexités, comme le salaire complémentaire ou le prélèvement à la source dont vous pouvez comprendre la logique ici, mais aussi, plus simplement, les lignes qui composent votre revenu général. Votre fiche de salaire affichera le salaire de base, le salaire brut mais aussi le “salaire complémentaire”. Pour comprendre la notion de salaire complémentaire, il faut d’abord se pencher sur les salaires de base. Le salaire de base désigne le salaire minimum de la convention collective de portage salarial pour l’équivalent d’un temps plein, soit 151,67 heures par mois. Comment mieux lire sa fiche de paie ? Ainsi, la fiche de paie d’un porté salarié se décompose donc de la manière suivante : Le salaire de base (salaire minimum que la société de portage doit payer en fonction du temps de travail) Le salaire brut La prime d'apport d'affaires (5%). La loi prévoit ainsi que puisque le salarié porté apporte sa mission (en principe), il bénéficie d'une prime. Le salaire complémentaire, qui correspond à la différence entre le salaire de base et le salaire brut. Le salaire complémentaire, sur la fiche de paie, correspond donc à la différence entre le salaire brut (hors prime d'apport d'affaires) et le salaire de base. Or, le cadre légal stipule qu'un salarié ne peut travailler au delà de 151,67h/mois, taux duquel le logiciel de paie de la société de portage se rapproche pour rémunérer l’équivalent d’un temps plein. Une fois que le salarié atteint le maximum du rapport taux horaire avec le salaire de base, le salaire complémentaire permet d’atteindre son objectif de paie : on considère que c’est le reste du chiffre d’affaires qui n’a pas été pris en compte par le cadre légal du nombre d’heures maximum travaillé par mois. Enfin, pour mieux identifier vos frais en général en tant que salarié porté, renseignez-vous également sur les frais en situation de portage salarial et comment faire des économies.

Arret de travail et portage salarial : tout savoir

Arrêt de travail et portage salarial sont tout à fait compatibles, découvrez ce qu’il faut faire en cas de maladie. Une grippe, une chute sur un trottoir mouillé ... l’automne est propice aux petits accidents ! Pour les indépendants tout arrêt de travail représente une perte de revenu conséquente, et qu’il faut donc éviter à tout prix. Au risque parfois de voir sa santé se dégrader ! Le statut de salarié porté, hybride, permet d’effectuer ses missions comme un consultant indépendant et d’avoir la même protection que les salariés. Y compris pour les arrêts de travail ... Découvrez avec nous tout ce qu’il faut savoir sur l’arrêt de travail et le portage salarial. Arrêt de travail et portage salarial : dans quelles conditions ? Lorsque vous êtes un salarié porté, vous recevez des bulletins de salaire émis par votre société de portage. Sur votre fiche de paie apparaissent un certain nombre de prélèvements, qui correspondent aux cotisations que verse pour vous la société de portage salarial. Si vous avez des questions sur la fiche de paye, consultez notre article sur comment lire une fiche de paye ici. Les salariés portés sont donc couverts par le régime général de la sécurité sociale. C’est cette couverture qui vous permet de partir en arrêt maladie et de continuer à toucher quelque chose. Lorsque vous êtes arrêté vous recevez en effet des indemnités journalières qui vous sont versées par la CPAM : la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Vous trouverez toutes les infos sur les indemnités journalières sur le site de l’assurance maladie : Ameli. La rémunération lors d'un arrêt de travail ? Pour calculer les indemnités journalières, la CPAM se base sur la moyenne des trois derniers salaires bruts. Une limite est fixée à 1,8 fois le montant du SMIC mensuel. Cette moyenne est ensuite divisée par trente, le nombres de jours de référence dans un mois, pour obtenir le montant du salaire journalier. Lorsque vous êtes en arrêt de travail, vous touchez 50% de ce salaire journalier. Ce taux peut cependant augmenter, notamment si vous avez plus de trois enfants. Quelles sont les règles à suivre pendant un arrêt de travail ? En tant que salarié porté vous êtes soumis aux mêmes règles que les autres salariés de droit privé. Vous devez informer la Sécurité Sociale et votre employeur dans les 48 heures qui suivent votre arrêt maladie. Qui dit arrêt de travail dit repos, et sauf autorisation de votre médecin ou pour raison de soins médicaux, vous devez être chez vous durant la journée, de 9h à 11h et de 14h à 16h.
Qu’est-ce que la prime apporteur d’affaire ?

Qu’est-ce que la prime apporteur d’affaire ?

Tout salarié porté est amené à s’interroger sur la mention de prime apporteur d’affaire inscrite dans son bulletin de paie. La notion de prime apporteur d’affaire semble en effet subtile à saisir. Zoom sur la définition et l’intégration de la prime d’apporteur d’affaire dans le portage salarial. Qu’est qu’une prime apporteur d’affaire ? Mentionnée à l’article 21 de la convention collective du 22 mars 2017, la prime apporteur d’affaires rend explicite le statut particulier du salarié porté. En effet, ce dernier est tenu de décrocher des missions par ses propres moyens comme l’indique l’ Article L1254-2 du Code du travail. La prime apporteur d’affaires qui revient au salarié porté est issue de cette logique. Un apporteur d’affaires désigne un intermédiaire entre deux ou plusieurs parties prenantes ayant pour but de réaliser une opération commerciale. La finalité de l’apporteur d’affaire est de tirer profit de son réseau professionnel pour tisser des relations contractuelles. L’apporteur d’affaire agit donc comme un entremetteur pour conclure un accord commercial tel qu’un contrat de vente, de prestation de services ou de partenariat. Il est généralement rémunéré à la commission soit un pourcentage variable à la signature du contrat. Dans le cas du portage salarial, le salarié porté fait office d’intermédiaire entre le client et l’entreprise de portage donc c’est lui qui reçoit la prime d’apporteur d’affaires. L’article 21.2 de la convention collective du 22 mars 2017 stipule que : “ le salaire minimum défini par la présente convention correspond à la définition d’une rémunération minimale visée par l’article L. 1254-2 du code du travail. Il intègre le salaire de base, les indemnités de congés payés et la prime d’apport d’affaire ”. Puisque le salarié porté est non seulement l’exécutant de la mission mais aussi l’intermédiaire entre client et entreprise de portage salarial, la prime apporteur d’affaire doit obligatoirement être mentionnée sur le bulletin de paie. La prime apporteur d’affaire en portage salarial La convention collective du 22 mars 2017 précise à l’article 21.2 que “ l’indemnité d’apport d’affaires de 5 % portant sur la rémunération brute mensuelle ”. En bref, cette prime apporteur d’affaire est évaluée à 5 % du salaire brut du salarié porté. Les partenaires sociaux ont ainsi inscrit dans la convention collective le caractère particulier du salarié porté qui doit lui-même décrocher ses missions et trouver son propre travail. Pour mieux comprendre le fonctionnement du portage salarial, vous pouvez consulter cet article du blog ou visionner cette vidéo d’OpenWork ci-dessous :

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