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Comment concevoir un plan d’action efficace ?

Comment concevoir un plan d’action efficace ?

Vous souhaitez concevoir un plan d’action pour votre entreprise ? Découvrez nos conseils clés et astuces pour assurer l’efficacité de votre plan d’action. 🤔 Un plan d’action, qu’est-ce que c’est ? Le plan d’action est une manière efficace de hiérarchiser les étapes prévues dans la conception de votre projet. Il vous permet ainsi de vous astreindre à une certaine rigueur afin d’atteindre vos objectifs. Cette technique est nécessaire à la gestion de projet. Elle permet de planifier les différentes tâches que votre équipe devra réaliser pour atteindre les objectifs fixés. Comme nous l’avions évoqué pour le Lancement de projet, la mise en place d’un calendrier prévisionnel et d’une planification stratégique étape par étape sont des prérequis nécessaires à la réussite de tout projet. Ainsi, chaque membre de votre équipe sera astreint à une mission particulière. Il lui sera par la suite attribué des ressources et une durée de réalisation à respecter. 👉 Plan stratégique ou plan d’action ? Le plan stratégique est souvent un préalable du plan d’action. Le plan stratégique permet à toute société de planifier la suite de ses opérations et objectifs sur une période de plusieurs années. Dans ce cadre général, le plan d’action vient définir plus précisément les tâches à accomplir dans le cadre d’un projet. Le plan stratégique définit ainsi une vision d’ensemble et des objectifs à moyen, long terme. Le plan d’action décrit quant à lui des actions plus concrètes et ciblées. Un plan d’action permet notamment au chef de projet de déléguer des tâches et de définir clairement les responsabilités et missions de chacun. ✅ Quelques conseils clés Conseil n° 1 : multiplier les actions précises Les actions fixées doivent être précises et réalistes. Il ne sert à rien de souhaiter réaliser l’entièreté de vos objectifs annuels sur une période de deux mois. En revanche, il est plus utile de séquencer en plusieurs tâches concrètes ce que votre entreprise s’est fixée d’atteindre à terme. Ainsi, par exemple, pour le lancement d’un nouveau produit, le chef de projet délèguera différentes tâches à chaque membre de l’équipe selon ses attributions. L’un d’entre eux sera chargé de la communication sur les réseaux sociaux. Un autre devra rechercher des sponsors ou encore établir un budget prévisionnel des ressources et moyens nécessaires. Conseil n° 2 : fixer préalablement une durée réaliste De même que la tâche en tant que telle, la durée de celle-ci doit être réaliste. Pour cela, il ne faut pas fixer des périodes trop longues ou trop courtes. Il est nécessaire de bien adapter le délai nécessaire aux actions devant être accomplies. Une tâche de prospection pour votre projet afin d’attirer des sponsors ne sera pas mesurée de la même manière que celle de poster du nouveau contenu sur les réseaux sociaux. Pour cela, il importe de réaliser un calendrier clair et réaliste. Il est facile de se laisser dépasser par le nombre de tâches à accomplir. Un amoncellement de petites tâches peut nécessiter plus de temps que ce que vous aviez initialement prévu. De même, il est nécessaire de vous concentrer au début sur les tâches les plus longues et qui conditionnent la réussite de votre projet. Mieux vaut travailler un petit peu sur chaque tâche de manière quotidienne que laisser traîner les échéances jusqu’à la date du rendu final. Conseil n° 3 : établir un budget prévisionnel Enfin, votre plan d’action devra prévoir scrupuleusement les ressources allouées pour chaque mission. Il faudra veiller à ce que les membres de votre équipe ne soient pas trop gourmands. Il est difficile de trouver des sources de financement, alors mieux vaut garder la confiance de vos sponsors en respectant le budget prévisionnel fixé ! Ce budget prévisionnel sera votre meilleur ami durant la conception et le lancement de votre projet. Il vous permettra de délimiter rigoureusement les missions à accomplir et les sommes qui devront être allouées. Conseil n° 4 : hiérarchiser les missions Toutes ces actions listées devront finalement être hiérarchisées selon l’ordre d’importance, l’urgence et les objectifs de votre projet. La communication relative à votre projet est une mission à long terme qui suit son entière réalisation. Tandis que la recherche de financements et les levées de fonds se révèlent plus urgentes. Conseil n° 5 : prévoir plusieurs scénarios Tout chef de projet sait bien que son plan d’action initial n’est que très rarement scrupuleusement suivi jusqu’au lancement officiel du projet. Souvent, des ajustements vont être à réaliser selon les ressources allouées pour chacune des actions définies. La durée prévue peut également s’avérer plus longue ou plus courte que celle initialement établie. Le plan d’action doit ainsi prévoir plusieurs alternatives auquel cas le scénario initial ne se déroule pas comme prévu.
Le slashing : nouvelle organisation du travail ?

Le slashing : nouvelle organisation du travail ?

Qu’est-ce que le slashing ? Parmi la ribambelle de nouveaux anglicismes utilisés pour qualifier les nouvelles pratiques du monde du travail, le slashing n’est pas le moindre. Apparu en 2007 sous la plume de l’Américaine Marci Alboher dans l’ouvrage « One person/multiple carreers » en 2007, il désigne l’occupation simultanée par une personne de plusieurs emplois. Ce phénomène s’oppose à la carrière traditionnelle menée au sein d’une même entreprise ou structure. Il est en hausse et selon une étude conduite par le Salon des microentreprises en 2015, il concernait déjà à cette date 4,5 millions de Français, soit 16 % des actifs, un chiffre en dessous de la situation actuelle. Et selon une étude Ipsos, 61 % des salariés pensent voir le slashing émerger comme une norme d’ici quelques années. Dans les pays anglo-saxons, le cumul de plusieurs emplois est une réalité vécue depuis longtemps par certains travailleurs précaires, pour compenser le faible niveau des salaires. Cette situation subie dûe à une nécessité économique existe également en France — à une moindre ampleur — mais un autre type de slashers existe : ceux qui choisissent de manière délibérée et volontaire d’exercer plusieurs métiers. De qui s’agit-il ? Souvent de jeunes, qui recherchent du dynamisme dans leur vie professionnelle et choisissent de diversifier les expériences pour acquérir et utiliser de multiples compétences. Pour quelles raisons le slashing attire-t-il de plus en plus d’actifs ? Plusieurs raisons expliquent la montée en puissance du slashing choisi par les actifs. Parmi elles, l’accroissement des missions de freelance et au développement du statut d’auto-entrepreneur, qui offrent de nouvelles possibilités. Ainsi, les mutations du marché du travail, avec également une circulation plus fluide d’un poste à l’autre, la généralisation du télétravail sont des facteurs explicatifs. Néanmoins, le principal tient dans la volonté des jeunes actifs, qui voient de nombreux avantages dans le slashing et conçoivent mal la monoactivité comme corollaire d’une carrière professionnelle. Ce choix de carrière qui est aussi un choix de vie comporte de nombreux bienfaits. Encore faut-il avoir une personnalité adaptée au slashing, qui peut ne pas convenir à tout le monde. Les slashers sont souvent des multi-potentiels, c’est-à-dire des individus dynamiques, curieux et qui ont la capacité à faire du lien entre les sujets. Ils ont besoin d’être stimulés, de rencontrer souvent de nouveaux défis et apprécient le changement et savent et aiment apprendre vite. À ce titre, cumuler deux ou trois emplois leur permet de se réaliser pleinement. Ce souhait est rendu possible par les nouvelles articulations du temps de travail rendues possible par les entreprises, qui savent que ces profils généralistes, polyvalents et créatifs, ont beaucoup à leur apporter. Le slasher exerce souvent des métiers très différents : employé dans le marketing le lundi et mardi, il est professeur de yoga le mercredi et jeudi et musicien le vendredi et samedi. Le slashing ne désigne par une personne qui a diverses activités dans un seul domaine de compétences. Le slashing, s’il peut être source d’épanouissement, recèle cependant son lot de travers : mauvaise organisation de ses activités, et donc risque d’être débordé, burn-out. C’est pourquoi il est nécessaire de faire preuve de rigueur, bien s’organiser et savoir se remettre en question. Il peut être possible de réaliser deux activités en slashing par le biais du portage salarial chez OpenWork. Pour en savoir plus sur ce mécanisme, consultez notre page dédiée au sujet.
Networking : nécessaire pour saisir les opportunités de carrière

Networking : nécessaire pour saisir les opportunités de carrière

Le networking, une méthode fondamentale pour saisir les opportunités de carrière 🔸 Le networking est une compétence de plus en plus décisive afin d’évoluer professionnellement dans un monde du travail en mouvement. Aussi appelé réseautage, il s’agit de la création d’un réseau de relations, qui sera utile au networker tout au long de sa carrière. En quoi le networking est-il une compétence essentielle ? La structure actuelle du marché du travail est toujours plus fluide, et pousse les professionnels à s’adapter. Une carrière est souvent faite de plusieurs métiers. C’est pourquoi la capacité à saisir les opportunités d’emploi efficacement est une composante clé dans la réussite d’une carrière. À ce titre, le networking permet de se constituer un réseau professionnel qui maximise cette capacité. La théorie de la force des liens faibles de Mark Granovetter est toujours d’actualité, et particulièrement avérée en ce qui concerne la recherche d’emploi. Cette théorie implique que votre visibilité et l’intérêt pour les autres personnes de faire partie de votre réseau professionnel croissent avec la taille de celui-ci. Cependant, l’utilité du networking va bien au-delà de la simple recherche d’emploi. La circulation de l’information, la prospection de nouveaux clients, le recrutement, la publicité, bref toutes ces activités sont facilitées par un carnet d’adresses bien garni. L’acquisition d’un réseau de relations riche est un atout pour l’individu, à fortiori s’il est entrepreneur, ou son éventuel employeur. 💡 D’autant que l’impact du networking est démultiplié à l’ère du numérique. On l’observe à travers l’efficacité d’un réseau social comme LinkedIn, plateforme moderne de réseautage, qui a prouvé son efficacité dans la recherche d’emploi. Le networking a lieu « en direct » et sur le net. Il s’agit donc de ne négliger aucun des deux aspects pour maximiser un apport extrêmement précieux au niveau professionnel mais aussi humain, par exemple pour se sentir à l’aise et bien évoluer au sein d’une entreprise. Nous allons voir quelques conseils simples pour bien networker. 👇 Comment rendre son networking plus efficace ? ✅ Le networking est polymorphe : Il faut distinguer le social networking et le business networking, qui, comme leurs noms l’indiquent, concernent dans le premier cas les relations sociales hors cadre professionnel et dans le second, la sphère professionnelle. Toutes les occasions sont bonnes pour élargir son réseau et rencontrer des personnes. Il s’agit avant tout d’un état d’esprit : aller vers les autres et profiter des moments possibles pour faire du « small talk ». Il s’agit toutefois de rester naturel même si les plus réservés d’entre nous devront vaincre l’appréhension du premier contact, souvent le plus difficile ! Il peut être intéressant de préparer des éléments de langage d’un court discours de présentation afin de se sentir plus à l’aise dans ces situations. 🚀 Autre point important, le networking se fait souvent lors des « à-côtés » de l’activité professionnelle. Avant même l’entrée sur le marché du travail, l’adhésion à des associations durant la scolarité, à un réseau d’alumni ensuite, sont des moyens très efficaces pour rencontrer des gens. En entreprises, les associations professionnelles, les after-works et les événements d’entreprises, donnant lieu à des moments plus détendus hors du cadre purement professionnel, sont également des occasions privilégiées pour le networking. Par ailleurs, soigner son profil Linkedin est aujourd’hui un impératif. Il faut cependant veiller à ne pas se montrer intrusif dans ses interactions. 👉 Ainsi, dans un environnement professionnel changeant et parfois instable, savoir acquérir et soigner un réseau riche est une condition sine qua none d’une trajectoire de carrière facilitée. Développer vos compétences de networking doit donc faire partie de vos priorités, quel que soit votre métier. Et tout particulièrement dans le cadre d’une activité en portage salarial. Nos soirées OpenWork sont un lieu de networking idéal !
Déclaration urssaf : comment la faire correctement ?

Déclaration urssaf : comment la faire correctement ?

Déclaration urssaf : comment la faire correctement ? 💡 Pour ne pas avoir à faire votre déclaration Urssaf vous mêmes, pensez au portage salarial avec Openwork. La fiscalité de la déclaration urssaf 🔸 Comme toute entreprise, votre auto-entreprise sera imposée sur son chiffre d’affaires. Cependant, vous avez le choix entre 2 régimes fiscaux : 👉 Barème progressif de l’impôt sur le revenu après abattement sur le chiffre d’affaires. Dans ce cas, vous reportez votre chiffre d'affaires dans votre déclaration annuelle de revenu et vous appliquez sur celui-ci un abattement variable en fonction de l’activité que vous menez en tant qu’auto-entrepreneur : Un abattement de 71% pour une activité de vente de marchandises et de fourniture de logement, Un abattement de 50% pour une activité de prestation de services Un abattement de 34% pour les BNC (bénéfices non commerciaux), c'est-à-dire pour les activités libérales 👉 Prélèvement libératoire ( déclaration urssaf), réservé aux auto-entrepreneurs dont le revenu de référence du foyer fiscal de l’avant-dernière année (avant option) est inférieur à environ 26.000 €. Dans ce cas, le taux est variable selon l’activité : 13,80% pour les activités d'achat/revente de marchandises, vente de denrées à consommer sur place et prestations d'hébergement (BIC) 23,70% pour les prestations de service artisanale et commerciales (BIC/BNC). 24,20% pour les activités libérales (BNC) . ℹ️ Le prélèvement libératoire est souvent le plus avantageux, mais est réservé aux auto-entrepreneurs dont le revenu est relativement modeste. Déclaration urssaf et portage salarial 🔸 Avec le prélèvement libératoire, vous devrez déclarer tous les trimestres votre chiffre d’affaires sur le site de l’urssaf et régler les impôts sur le moment (avec possibilité de payer en plusieurs fois). C’est un système simple et pratique mais vous bénéficiez d’une faible protection sociale. 🚀 Le portage salarial repose sur un contrat tripartite entre l’indépendant (vous), le client, et une société de portage salarial. ✅ La société de portage salarial permet à l’indépendant d’avoir le statut de salarié, ce qui lui donne droit à de nombreux avantages. Les droits au chômage, la cotisation retraite et la sécurité sociale fonctionnent comme pour un salarié en CDI. Il est possible de distribuer les revenus d’une certaine période sur d’autres périodes afin de rester en-dessous des seuils de revenu qui augmentent le taux d’imposition. En outre, en portage salarial, les frais professionnels sont exemptés de TVA. 👉 La société de portage gère également la partie administrative et juridique : facturation des fiches de paie, relance des clients lorsqu’ils n’ont pas payé…En contrepartie de tous ces services, l’indépendant reverse une partie de son chiffre d’affaires à la société de portage. 💡 L’entreprise OpenWork met également à disposition un guide pour mieux comprendre le portage salarial et ses avantages : Se lancer en portage salarial 🧡
Emploi senior : pourquoi vous en entendez parler

Emploi senior : pourquoi vous en entendez parler

Emploi senior : pourquoi vous en entendrez parler de plus en plus 🤔 Emploi senior : Ces dernières années, les progrès de la médecine et de la technologie ont à la fois allongé l’espérance de vie et diminué la pénibilité du travail. Cela a eu pour effet de creuser le déficit du régime des retraites, et donc les travailleurs doivent désormais travailler plus longtemps. C’est pourquoi l’emploi senior devient un sujet de plus en plus important. ℹ️ Pour en savoir plus, vous pouvez visionner cette vidéo 👉 de Dessine-moi l’éco qui décortique le système des retraites en France. Emploi senior : les mesures prises par l’État Emploi senior : L’État a bien entendu tout intérêt à accompagner les seniors vers une meilleure employabilité. En effet, ils sont naturellement désavantagés sur le marché du travail qui préfère leurs homologues plus jeunes, disposés à travailler plus vite et plus longtemps pour des salaires inférieurs. 🔸 C’est pourquoi différentes aides ont été mises en place dont deux principales : L’aide d’État pour toute embauche de demandeurs d’emploi âgés de 45 ans et plus en contrat de professionnalisation (contrat de travail spécifique permettant au salarié d’acquérir une qualification professionnelle reconnue par l’État et/ou la branche professionnelle) Le CDD senior est un CDD d’une durée maximale de 18 mois, renouvelable une fois, pour les personnes âgées de 57 ans ou plus en recherche d’emploi ou bénéficiaires d’une convention de reclassement personnalisée. 🔍 Pour une liste exhaustive des mesures gouvernementales pour l’emploi senior, n’hésitez pas à vous rendre sur 👉 la page Mesures Seniors du ministère du Travail. Emploi senior : les initiatives que vous pouvez prendre vous-même vous êtes un senior et vous rencontrez des difficultés à trouver un emploi ( Emploi senior) ? 🤔 ▶️ N’hésitez pas à vous lancer en tant qu’indépendant, où vos compétences auront bien plus d’importance que votre âge. Afin de pouvoir bénéficier de garanties équivalentes à celles d’un salarié en CDI alors même que vous avez la liberté de choisir vos clients et vos horaires, vous pouvez opter pour le système du portage salarial. 😎 👉 Il s’agit d’un contrat tripartite entre vous-même, votre client et une société de portage salarial qui vous permet d’acquérir le statut de salarié, et ainsi de bénéficier des nombreux avantages associés comme les cotisations retraite ou les allocations chômage. 💡 Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site d’ OpenWork et en particulier sur la page Le Portage salarial.
Indemnité : comprendre ce que c’est et si vous y avez droit

Indemnité : comprendre ce que c’est et si vous y avez droit

Indemnité : comprendre ce que c’est et si vous y avez droit. 📓Selon le dictionnaire Larousse, 👉 une indemnité est une somme d’argent destinée à dédommager quelqu’un des préjudices d’un dommage subi dans son travail. Indemnité : l’allocation chômage L’allocation chômage peut être considérée comme une indemnité, puisqu’elle compense le préjudice financier causé par la perte d’un emploi. L’allocation chômage est calculée à partir des salaires reçus sur les 24 ou 36 derniers mois qui précèdent la perte d’un emploi. Elle est comprise entre 29,56€ et 256,96€ par jour. Pour l’obtenir, il faut généralement avoir travaillé au moins 6 mois dans les 24 derniers mois. Elle est ensuite versée pendant 182 jours calendaires minimum et jusqu’à 730 jours calendaires maximum. Les situations suivantes peuvent donner droit à une allocation chômage ( indemnité) : Licenciement pour motif personnel ou économique, ou révocation Rupture conventionnelle Non renouvellement d’un CDD Démission considérée comme légitime (par exemple, pour suivre la personne avec laquelle on vivait en couple) ℹ️ Pour des informations plus exhaustives sur l’allocation chômage, n’hésitez pas à consulter la page Allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE) d’un salarié du privé sur le site du Service Public. 💡Pour aller plus loin, vous pouvez également regarder cette vidéo d’Arte intitulée L’arrêt des aides va-t-il faire exploser le chômage ? Indemnité : Le cas des indépendants Comme vous l’avez remarqué ci-dessus, les travailleurs indépendants (comme les auto-entrepreneurs) n’ont pas droit à l’allocation chômage, par conséquent, ils n'ont pas droit à l' indemnité. Cela veut dire que s’ils n’ont plus de revenus, ils n’ont pas de filet de sécurité leur permettant de couvrir leurs frais le temps de trouver une autre source de revenus. C’est un problème ! 🤔 Heureusement, il existe le système du portage salarial. Il permet aux indépendants de se faire salarier par une entreprise spécifique (entreprise de portage salarial), ce qui leur permettra d’accéder aux droits propres du salariat (chômage, cotisation retraite, mutuelle, CSE, indemnité) ainsi que de bénéficier d’un accompagnement juridique, administratif et comptable de leur activité. 🖐Les entreprises de portage salarial, comme OpenWork, travaillent avec des professionnels du conseil, de la prestation intellectuelle, du graphisme ou du Community Management, mais ne s'adressent pas aux professions libérales. 👉 Le portage salarial est régi par une convention collective depuis 2015, et les indépendants peuvent accéder au service pour 7% de leur CA avec un plafond fixé à 600 euros/mois. 💡Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site d’OpenWork et en particulier sur la page Le Portage Salarial. 🧡
Envisager le temps partiel pour une reconversion professionnelle : suivez le guide !

Envisager le temps partiel pour une reconversion professionnelle : suivez le guide !

Les volontés de reconversion se font de plus en plus nombreuses : changer de voie professionnelle durant une carrière est presque devenu la norme, face à un monde du travail en proie à la recherche de sens. Réussir sa réorientation professionnelle comme l’indique cet article du blog, est à la portée de tous. Le temps partiel peut constituer une des solutions à envisager. Mais de quel temps partiel parle t-on réellement ? Le temps partiel, élément de transformation du marché du travail des dernières décennies Avant d’être un moyen d’effectuer une reconversion professionnelle, le temps partiel est un moyen d’accorder plus de temps à d’autres pans de sa vie personnelle. Or la DARES (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère du travail) indique que “ la part du temps partiel dans l’emploi a doublé depuis le milieu des années 1980. Représentant à peine plus d’un emploi sur vingt à la fin des années 1960, le temps partiel concerne un emploi sur dix à partir de 1983 et près d’un emploi sur cinq en 2015.” Rien d’étonnant lorsqu’on considère que “la diffusion de l’emploi à temps partiel est un des éléments de la transformation du marché du travail des dernières décennies. ” Mais de quel temps partiel parle t-on ? La DARES dresse le portrait de 6 grands types de parcours professionnels, parmi les personnes ayant été à temps partiel à un moment donné entre 20 et 40 ans. Temps partiel continu : un emploi stable à temps partiel plutôt tertiaire, hors commerce, plus souvent pour des cadres à 40 ans (fonctionnaire de catégorie A, ingénieur...). Temps partiel tardif : un emploi à temps partiel stable pour des femmes en couple (celles qui arrêtent de travailler suite à une naissance et optent pour un emploi à temps partiel lorsque leurs enfants sont plus grands). Temps partiel peu actif : un lien lâche à l’emploi qui concerne davantage des femmes ayant deux enfants ou plus (alternance entre des emplois courts à temps complet et à temps partiel, et des périodes d’inactivité). Temps partiel transitoire : un lien fort à l’emploi pour des personnes plutôt peu diplômées (temps partiel entre deux emplois à temps complet, secteur du commerce, difficultés à construire une vie de famille). Temps partiel permanent : un lien fort à l’emploi et des situations professionnelles stables à 40 ans (94 % de femmes, souvent en CDI et non cadres). Le temps partiel permanent comme réponse à un souhait d’alléger la charge de travail pour mieux concilier vie professionnelle et vie familiale. Temps partiel d’entrée : l’emploi à temps partiel comme « ticket d’entrée » dans l’emploi à temps complet (ces parcours sont suivis à 40 % par des hommes alors qu’ils ne représentent que 16 % de la population à temps partiel entre 20 et 40 ans). Autant de situations qui amènent à comprendre que l’adoption du temps partiel est un projet à construire avec son employeur pour faire aboutir un projet de vie bien particulier. Le temps partiel pour une reconversion professionnelle, une aide à prendre en compte. Un des projets de vie qui s’y adapte particulièrement est la reconversion professionnelle. En effet, dans le cadre d’une création d’entreprise, le temps partiel constitue une des aides possibles. Pour le salarié qui souhaite lancer son activité, deux choix s’offrent à lui, partir avec un congé création ou reprise d’entreprise, ou bénéficier d'une période de travail à temps partiel. Les conditions sont simples, le salarié doit pouvoir justifier de “ 24 mois d'ancienneté, consécutifs ou non, dans l'entreprise ou dans les autres entreprises du groupe ”. Il doit ensuite fixer la durée de son temps partiel, fixée par son accord de branche ou convention collective, durée qui en absence d’accord, s’élève jusqu’à un an. Enfin, la demande du salarié doit être effectuée au moins 2 mois avant le début du temps partiel. La deuxième situation possible pour un salarié qui cherche à se reconvertir, est celle de la formation à temps partiel (CIF, « Congé Individuel de Formation »). Le CIF permet de suspendre un contrat de travail pour suivre une formation, sa durée minimum équivaut à 30 heures et elle est d'un an maximum pour une formation à temps plein, et de 1200 heures si elle est à temps partiel. Les conditions pour faire un CIF étant très souples, il constitue souvent l’option idéale pour commencer une formation en temps partiel. Le temps partiel dépend donc de nombreux cas de figure. Mais de nombreuses solutions existent pour trouver la meilleure option lors d’une reconversion professionnelle. Pour en savoir plus, lisez aussi cet article du blog pour savoir comment gérer le travail à temps partiel au quotidien.
Qu’est-ce que le travail de nuit ?

Qu’est-ce que le travail de nuit ?

Le travail de nuit, ça commence quand ? C’est la Convention Collective du secteur d’activité qui définit la planche horaire du travail de nuit. Lorsqu’il n’y a pas de convention collective, ou que celle-ci ne précise pas les horaires du travail de nuit, celui-ci est le travail effectué entre 21 heures et 6 heures du matin. Sauf dispositions conventionnelles particulières, tout travail qui sera effectué entre minuit et 5 heures du matin, pendant au moins 9 heures consécutives, sera considéré comme du travail de nuit. L’entreprise peut fixer elle-même sa définition de la période de travail de nuit, sous réserve de consultation et d’accord de l’inspecteur du travail et des délégués du personnel. Selon la législation, le recours au travail de nuit ne doit pas être une norme : il doit rester exceptionnel. L’entreprise qui a recours au travail de nuit doit justifier de la nécessité de celui-ci pour son activité économique (ou l’utilité sociale), et impérativement prendre en compte la nécessité de protéger la santé du salarié et d’assurer sa sécurité. Les entreprises ne respectent pas toujours leurs obligations relatives au travail de nuit. Qui sont les travailleurs de nuit ? Sous réserve d’une disposition différente définie par la convention collective, le travailleur de nuit est le salarié qui accomplit au moins 2 fois par semaine au moins 3 heures de travail en horaire de nuit. A noter que sauf exception, le travail de nuit des moins de 18 ans est interdit ! Le travail de nuit est répandu dans plusieurs secteurs d’activité : le transport, le commerce, la presse, l’industrie, le secteur paramédical ... Les travailleurs de nuit représentent 15% de la population active en France selon l’INRS. Pour plus de chiffres sur le travail de nuit. Travail de nuit et contrepartie Les travailleurs de nuit bénéficient de contreparties pour les périodes de travail de nuit. Ces contreparties sont des compensations salariales et/ou des périodes de repos supplémentaires. L’employeur doit également garantir à ses salariés une visite médicale de prévention, pour informer le salarié des risques pour sa santé. Le travail de nuit peut être refusé par un salarié qui estime qu’il est incompatible avec ses obligations familiales. Son refus ne peut pas constituer un motif de licenciement. On vous parle un peu plus des changements des conditions de travail ici et là. Enfin, un salarié qui travaille de nuit dans une entreprise et qui souhaiterait passer en travail de jour est prioritaire. Les risques du travail de nuit La pénibilité du travail de nuit est avérée. Récemment, dans les débats autour de la réforme du système de retraite, le Premier Ministre a fait part de son souhait de voir réduire le nombre de nuits de travail nécessaires pour pouvoir bénéficier du bonus retraite « pénibilité». Suivez ce débat ici. Le travail de nuit a un impact sur la vie privée des salariés, qui peuvent se trouver en situation d’isolement social, ou avoir des difficultés à concilier leurs vies familiales et professionnelles. Les travailleurs qui ont des enfants sont soumis à des contraintes majeures pour suivre les rythmes scolaires par exemple. Les risques pour les santés sont également importants : anxiété, insomnies, addiction, risque augmenté d’accidents du travail, voir augmentation du risque de développer un cancer!
Les règles de versement des IJSS

Les règles de versement des IJSS

IJSS : Les règles de versement Les IJSS sont parfois sources de confusion : CPAM, subrogation, indemnités complémentaires… on vous clarifie les règles d’indemnisation ! Qu’est-ce que les IJSS ? Le site de référence : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F3053 Les indemnités journalières de la sécurité sociale (IJSS) sont versées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie aux salariés en arrêt de travail. Elles représentent 50% du salaire journalier de base. Ce salaire correspond à la moyenne des salaires brut des trois derniers mois divisés par 91,27. Le salaire utilisé pour le calcul est plafonné à 1,8 fois le SMIC appliqué le mois précédent l’arrêt de travail. Les IJSS représentent 50% du salaire journalier, avec un plafond de 45 euros. Au bout de trois mois ce plafond est relevé à 60 euros pour les salariés ayant au moins trois enfants à charge. Ces indemnités sont versées après un délai de carence de trois jours. Quelles sont les conditions pour toucher les IJSS ? Afin de toucher les IJSS versées par la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, il faut pouvoir justifier de plusieurs éléments. Pour toucher les IJSS lors des six premiers mois de l’arrêt de travail, il faut justifier lors du début de l’arrêt de travail : un total d’heures travaillés de 150h cours des trois derniers mois ou d’avoir cotisé lors des six derniers mois sur une rémunération globale au moins égale à 1015 fois le montant du SMIC horaire. Pour continuer à toucher les IJSS après six mois, il faut avoir été affilié à la Sécurité Sociale au moins un an avant le début de l’arrêt de travail, avoir travaillé au moins 600 heures sur l’année précédent l’arrêt de travail ou avoir cotisé sur la base d’une rémunération globale égale au minimum à 2030 fois le SMIC horaire au cours des douze derniers mois. Une vidéo qui vous récapitule tout ça : https://www.youtube.com/watch?v=rie0oDtAZT0&feature=emb_title. IJSS et principe de subrogation Dans certaines entreprises, les IJSS ne sont pas versées directement par la CPAM mais par l’employeur, par le principe de subrogation. Avec le principe de subrogation, c’est l’employeur qui va verser directement à son salarié les indemnités journalières, et sera ensuite remboursé par la CPAM. Les indemnités versées par l’employeur ne peuvent pas être inférieures à celles que toucherait le salarié indemnisé directement par la CPAM. On vous explique tout sur l’arrêt maladie en portage salarial : https://www.lemonde-apres.com/fr/blog/larret-maladie-quand-vous-etes-en-portage-salarial IJSS complémentaires Certaines entreprises versent des indemnités complémentaires aux IJSS. Cela concerne les salariés bénéficiant d’au moins un an d’ancienneté dans l’entreprise au 1er jour d’absence, et qui transmettent dans les 48 heures un certificat médical à leur employeur. Ces indemnités sont versées après un délai de carence de 7 jours. La durée de versement des indemnités dépend de l’ancienneté dans l’entreprise. Vous pouvez consulter le récapitulatif ici : https://www.editions-legislatives.fr/maintien-de-salaire#5. Si vous avez déjà bénéficier de ce dispositif au cours des douze mois précédent, la durée du versement des indemnités complémentaires est déduite du nombre de jours durant lesquels vous avez déjà été indemnisé. Sauf dispositions conventionnelles plus favorables, vous pouvez toucher avec les indemnités complémentaires jusqu’à 90% de votre rémunération brute. Ce montant est ensuite réduit à 66,66% après 90 jours d’arrêt.
Temps de pause au travail : que dit le droit du travail ?

Temps de pause au travail : que dit le droit du travail ?

Trop peu selon les salariés, trop selon des employeurs ... le temps de pause au travail est un sujet important pour les managers. Récemment, des études ont montré qu' utiliser son smartphone pendant son temps de pause au travail était contreproductif. (Nous vous avions déjà parlé des dangers des téléphones portables pour la concentration ici). Ces études soulèvent cependant la question du temps de pause au travail, qui mérite d’être balayée d’un point de vue juridique pour bien comprendre de quoi il s’agit ... Temps de pause au travail : une définition Par définition, lors de son temps de travail le salarié est à disposition de son employeur. Il est subordonné à celui-ci, et met à disposition sa force de travail. En revanche, lors de son temps de pause au travail, le salarié a le droit de vaquer à ses occupations personnelles. Le temps de pause au travail est considéré comme un arrêt de travail. La relation de subordination est donc suspendue pendant ce temps. Cependant, l’employeur peut imposer au salarié de rester sur son lieu de travail durant son temps de pause – celui-ci étant par définition « de courte durée, sur lieu de travail et à proximité». Selon cette définition, l’arrêt de travail n’est pas rémunéré. Il arrive que le salarié prenne un temps de pause au travail durant lequel il continue d’être à disposition de l’employeur. Il s’agit alors d’une pause qui compte comme un temps de travail effectif, dans la pratique c’est le cas de la pause-café, de la pause cigarette... Cette pause est quant à elle rémunérée. L’employeur surveille évidemment les excès, et peut être amené à sanctionner ses salariés en cas d’abus. A noter : la pause déjeuner est considérée comme un temps de pause. Celui-ci peut être fractionné ou pris en une seule fois. Et si vous profitiez de votre pause au travail pour faire du yoga? Le code du Travail prévoit des temps de pause Le Code du Travail, à l’article L3121-16, indique que dès que le temps de travail quotidien atteint six heures, le salarié doit bénéficier d’un temps de pause obligatoire. La durée de ce temps de pause au travail est d’une durée minimum de 20 minutes. D’après la hiérarchie des normes en droit du travail, les accords collectifs (convention collective, accord d’établissement ...) ne peuvent pas prévoir des temps de pause au travail inférieurs au Code du Travail. La plupart des conventions collectives prévoient des temps de pause au travail plus importants, notamment sur la pause déjeuner. Dans certains secteurs, le temps de travail continue minimum avant d’avoir une pause est inférieur en raison de la pénibilité du travail ou des contraintes physiques : pour les hôtes(ses) de caisse, les serveurs et serveuses...

Suivre une formation en ligne : 7 plateformes pour tout apprendre

Vous avez envie d’élargir le spectre de vos compétences ? Suivre une formation en ligne constitue une solution idéale pour acquérir de nouvelles connaissances à moindre coût. Les portes de l’université vous sont désormais accessibles depuis votre canapé. Parfois gratuitement, vous pouvez parfaitement développer vos compétences professionnelles ou vous enrichir intellectuellement depuis chez vous. Si compléter une formation en ligne n’a sans doute pas encore la même valeur qu’un diplôme, cela peut servir de levier dans une carrière professionnelle. En effet, certaines compétences sont accessibles uniquement sur le web car l’offre de formation dans l’enseignement supérieur peine à suivre la cadence infernale imposée par les nouvelles technologies. Voici donc 7 sites internet pour tout apprendre, du code informatique à l’histoire de l’art en passant par Excel. Coursera ou EdX, les monstres de l’éducation en ligne Impossible de départager Coursera ou EdX, les deux mastodontes du cours en ligne. L’une ou l’autre plateforme proposent des enseignements académiques de grande qualité. Des cours introductifs à d’innombrables sujets sont proposés par les plus prestigieuses universités du monde. Compléter un cours en ligne d’une cinquantaine d’heures n’est pas une mince affaire. Il convient de bien évaluer en amont vos besoins et votre motivation. Mais rien de vaut de briller devant ses collègues ou amis ! Udemy, les Puces de la formation en ligne Voyez Udemy comme le marché aux puces de la formation en ligne. Depuis cette plateforme, vous allez pouvoir vraiment tout apprendre. Cours d’élocution orale ou spiritualisme orientale, il y en a pour tous les goûts et tous les besoins. Khan academy, retour sur les bancs de l’école La Khan Academy s’est imposée en quelques années comme le leader de l’enseignement scolaire en ligne. Les cours consistent en de courtes vidéos explicatives puis des exercices à accomplir. Si la Khan Academy est orientée pour un public jeune, le curriculum pousse jusqu’au niveau universitaire. C’est donc une excellente formation en ligne pour apprendre ou réapprendre les bases d’une matière. La formation en ligne leader en France https://openclassrooms.com/fr/ Reconnu par l’Etat, Openclassrooms propose de très nombreux cours orientés surtout métiers du web. Les formations proposées constituent un levier pour faire évoluer sa carrière professionnelle. En effet, Openclassrooms propose des formations en ligne diplomantes de la Licence au Master. Le principe est le suivant : vous suivez les cours en ligne sur Openclassrooms et vous effectuez une alternance. Vous êtes donc rémunéré et votre formation en ligne aboutit sur un diplôme reconnu dans toute l’Union européenne. Il est donc possible d’acquérir rapidement et à moindre coût des compétences pour les métiers qui recrutent aujourd’hui. Une formation en ligne pour apprendre une seule chose : le code https://www.codecademy.com/ A en croire le classement Forbes des plus grandes richesses de la planète, il vaut mieux savoir coder pour devenir milliardaire. Quand bien même votre but n’est pas d’être l’homme le plus riche de Babylone, apprendre à coder ne sera jamais néfaste. Code academy est LA formation en ligne du code informatique. Plus de 40 millions d’utilisateurs et de nombreuses start-ups créés par les alumnis de la Codeacademy illustre son efficacité. Microsoft Office à porte de tous https://www.microsoft.com/en-us/education/products/office Microsoft Office domine tellement son marché qu’il peut s’avérer utile d’en maîtriser les fondements. La formation en ligne propose sur le site de Microsoft est basique, simple mais efficace (et gratuite). Rares sont les métiers où Word et Excel n’ont aucune utilité. À vous d’investir quelques heures de votre vie pour suivre cette formation en ligne afin de pavoiser devant vos collègues de bureau. La newsletter culture G https://artips.fr/ Internet peut aussi vous enrichir intellectuellement. La preuve avec Artips. Gratuitement, recevez anecdotes et faits historiques pour vous distinguer en société. Peinture, théâtre, musique, littérature sont au cœur de ce projet. Grâce à Artips, la culture est accessible même depuis votre boite mail.
Allier formation courte et Compte personnel de formation

Allier formation courte et Compte personnel de formation

Le Compte personnel de formation permet à chaque salarié de bénéficier d’un financement afin d’accomplir une formation qualifiante. Les formations comprennent un diplôme, un titre professionnel, une formation certifiante voire même le permis de conduire. C’est un mécanisme utile pour faire évoluer sa carrière ou se réorienter. Suivre une formation courte mais intensive dans un domaine porteur peut donc être grandement facilité par le Compte personnel de formation. Prendre un peu de temps pour apprendre l’informatique, le marketing ou l’anglais est un luxe désormais accessible à tout salarié et personne en recherche d’emploi. Comment marche le Compte personnel de formation ? Imaginez un capital qui grossit à mesure que vous travaillez. A raison de 500 EUR par année de travail pour un salarié dans la limite d’un plafond de 5000 EUR, ce capital est débloqué pour accomplir une formation qualifiante. Ce dispositif existe depuis seulement 2015 et est géré par la Caisse des dépôts et consignations. Il doit ainsi promouvoir la formation continue en France. Pour utiliser ce compte, il faut toutefois suivre une formation éligible à son financement. Elle doit être qualifiante ou certifiante et répondre aux besoins du marché de l’emploi en France. Il existe plusieurs listes de formation mais le plus simple étant de rechercher une formation via le moteur de recherche du site officiel du Compte personnel de formation. Choisir un formation courte à haute valeur ajoutée Afin de tirer un bénéfice maximum de votre formation courte, mieux vaut la choisir avec attention. Le domaine doit donc être porteur et vous ouvrir de nouveaux horizons. Dans le doute, commencez par accomplir un cours introductif au sujet en ligne. De très nombreuses plateformes existent déjà pour vous faire découvrir un sujet ou un secteur qui vous intéresse. Pour les plus motivés, il existe de nombreuses formations aux métiers du web mais une seule retiendra votre attention dans cet article. C’est un formation courte proposée par Le Wagon. Le Wagon est la référence pour sortir après 9 semaines d’intense efforts avec une certification de « Concepteur - développeur d’applications web » et souvent même un job grassement payé. Mais que vous soyez salarié dans une start-up ou salarié porté en freelance, Le Wagon offre une formation complète et particulièrement importante à l’heure actuelle. En effet, il n’existe presque aucune boîte qui aujourd’hui peut se passer d’un développeur web. La preuve par TF1 : Pour conclure, laissez-vous convaincre par les statistiques : 99% des alumni trouvent un CDI dans les 2 ou 3 mois suivant la formation. Le Wagon propose une formation courte mais diplômante d’un niveau II équivalent à Bac+3/Bac+4. Les salaires oscillent entre 36 et 40k à la sortie des 9 semaines. En résumé, qui dit formation courte dit Le Wagon, n’hésitez plus, inscrivez-vous !

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